La future crèche Pégase sera bientôt inaugurée ! Prévu pour ouvrir courant 2025 sur la Zac de l’Arc Sportif, ce nouvel équipement pensé pour faciliter la vie des familles comprend des salles d’activités et des dortoirs pour un total de 33 berceaux, sur une superficie de 592 m². Chaque détail y est pensé pour offrir le meilleur environnement aux futur.es colombien.nes, âgés de 2 à 47 mois.
Dans ces espaces extérieurs, sécurisés, la crèche bénéficiera d’une zone de fraîcheur grâce à l’aménagement d’un espace généreux et paysagé de 311 m2 au total (dont de 209 m2 de pleine terre avec gazon). Une zone est également prévue pour la co-construction d’un potager, afin que les enfants expérimentent les différents atouts que la nature leur offre.
À l’intérieur, les zones se répartissent entre celles dédiées aux petits, moyens et grands ainsi qu’au personnel encadrant, pour veiller au confort de tous.tes les occupant.e.s.
Le budget travaux s’élève à 1,5 M€ HT, et s’inscrit dans le projet du nouveau quartier facilitant le parcours des enfants et leur scolarité, avec notamment la construction du groupe scolaire Dominique Frelaut. La crèche Pégase y prend une place de choix, avec une position calme dans un écrin de verdure, au sein de ce quartier apaisé.
Nous sommes ravis de vous inviter à notre événement de bienvenue qui se déroulera le samedi 05 octobre 2024 de 12h30 à 17h à l’angle des rues Estelle Rouat et Miriam Makeba. Ne manquez pas ce rendez-vous pour échanger et rencontrer les élu·es, l’aménageur éCo.urbain, les promoteurs et vos futur.es voisin.es. Une occasion pour découvrir votre ville et ses atouts mais aussi les projets sur votre quartier. Ce moment sera également dédié à la visite de la plus grande ferme urbaine d’Europe avec son système d’aquaponie.
Au programme :
Visite de la Ferme Urbaine (inscription sur place)
Echange et présentation des projets
Restauration en continu
Animations familiales
Jeux de société géants par Strata’j’m
Book Face par la médiathèque Jacques Prévert
Barbaroké par le théâtre du Kalam
N’hésitez pas à relayer l’information autour de vous.
Nous sommes impatients d’échanger avec vous. Si vous avez des questions ou des demandes particulières, contactez nous à l’adresse contact@eco-urbain.fr
Vous vous installez, vous habitez ou travaillez sur l’un des quartiers de Colombes ? Vous souhaitez mieux connaître les projets d’aménagement près de chez vous et participer ? Ou vous tenir informé.e des activités d’éCo.urbain, un aménageur engagé capable de mener à bien des projets innovants en phase avec les attentes de leurs utilisateur.rices ?
Sur notre site eco-urbain.fr, venez découvrir la médiathèque dans la rubrique nos contenus. Vous y retrouverez toutes les ressources éCo.urbain : outils presse, lettres d’information, vidéo, etc. Tous quartiers confondus, et grâce aux filtres, la chronologie des projets se dessine, à travers leurs lettres d’information, leurs fiches, nos newsletters…
Une foule d’informations à télécharger et pourquoi pas partager ! Pour un article de presse, pour transférer à un.e voisin.e, un ami intéressé.e. Les projets d’éCo.urbain, ce sont avant-tout les vôtres. En diffusant l’information, vous pouvez contribuer à améliorer encore la prise en compte de vos besoins et vos idées dans nos opérations !
Inter : De nombreux supports pour vous informer en continu
Si la médiathèque sert de « mémoire » aux projets, le site s’étoffe régulièrement d’actualités et de contenus capables de vous enthousiasmer sur la transformation de Colombes, et au-delà. Pour suivre toutes les évolutions, les initiatives, rendez-vous sur les réseaux sociaux très actifs d’éCo.urbain !
La 2e phase des travaux des espaces publics commence sur le chantier de Colombus. Au programme, l’aménagement des futures allées de votre quartier. Après une intervention décomposée en 4 zones et 4 périodes, le secteur sera végétalisé avec l’intégration de noues pour la gestion de l’eau, et doté de pistes cyclables pour des circulations apaisées et sécurisées.
Les étapes de ce chantier, de juin 2024 à juin 2025 :
Zone 1, de juin à octobre 2024 – pointe Sud-Est de l’avenue Kleber et du boulevard de Valmy
Zone 2 – partie centrale du boulevard de Valmy et allée Françoise Héritier
Zone 3 – rue Gisèle Halimi et partie centrale du boulevard Kleber
Zone 4 – allées Brétecher et Louise Michel.
Les dates précises de réalisation des travaux, vous seront communiquées au démarrage de chaque phase.
Le 25 avril dernier, l’Association Française du Développement Urbain (AFDU) a organisé une matinée d’étude à Colombes sur le thème de « La ville en transition écologique : entre renaturation, transformation et expérimentation de nouveaux usages urbains, comment concilier des impératifs de verdissement, de solidarité avec la création de logements sociaux et de densité maîtrisée« . L’AFDU réunit les opérateurs publics et privés des projets urbains porteurs d’innovation. Sous l’angle de l’expérimentation, le Club détecte les tendances, les réflexions, les acteurs et les lieux qui augurent le monde d’après.
C’est donc avec une grande fierté que nous l’avons accueillie, pour faire découvrir à ses adhérent.e.s et partenaires les opérations sur le territoire, en compagnie de son Président et Maire de Colombes, Patrick Chaimovitch.
l’Association Française du Développement Urbain – AFDU a voulu découvrir la ville de Colombes, plongeant au cœur de certaines d’opérations démontrant une ville en transition écologique entre renaturation, transformation et expérimentation de nouveaux usages urbains. Une belle occasion pour éCo.Urbain de présenter certaines de ses réalisations vertueuses en termes d’aménagement durable et responsable : L’éColieu C 2Mains : cet urbanisme transitoire et de préfiguration qui permet l’expérimentation de nouveaux usages écologiques urbains avec les habitant.e.s. Une conception simple pensée pour répondre aux contraintes du projet (non-artificialisation des sols, démontabilité des installations…). Les participant.e.s ont pu visiter le nouveau pavillon avec plus de 70% de ces matériaux issus du réemploi conçu et réalisé par Ya+K et géré par DVTup.
L’école Oasis Dominique Frelaut : Accompagné de Maître Cube et de Tectnoniques / Architectes & Ingénieurs, nous avons pu présenter ce groupe scolaire de 19 classes économe en énergie (niveau E2) est essentiellement construit en bois pour respecter l’ambition bas carbone et intégrant un système de chauffage basé sur le concept de géothermie (Label BDF niveau argent). Une attention a été également portée à la biodiversité grâce à des prescriptions spécifiques sur les végétaux et les habitats pour la petite faune.
Nous avons pu également visiter le nouveau Stade Yves-Du-Manoir, premier édifice inauguré dans le cadre des équipements accueillant une épreuve des JOP, 100 ans après.
Enfin, notre périple nous a menés au sommet de la ZAC Arc Sportif dans les étages de la ferme urbaine dédiés à la production maraîchère et aquaponique pour favoriser les circuits courts construite par Nexity et IIimelgo et utilisé par Nutreets et Biscornu.
A l’heure où la ressource en eau se raréfie, les questions de ruissellement et d’inondations sur certains territoires imposent une nouvelle gestion de cette problématique en milieu urbain. Lors d’épisodes de pluie, ou pour favoriser la biodiversité indispensable en ville, le stockage de l’eau devient une opportunité de recréer des écosystèmes et de recharger les nappes phréatiques. La ville peut redevenir un lieu de vie, à travers de nombreux dispositifs innovants et techniques.
C’est quoi une noue ?
Parmi eux, un aménagement végétalisé de gestion des eaux dénommé « noue » collecte et régule l’eau de pluie et de ruissellement, en la stockant de manière visible, à l’air libre. Elle s’évacue naturellement par évaporation ou par infiltration dans le sol. Par temps sec, ce fossé large et peu profond, planté d’arbres et de plantes, reste un espace totalement accessible. Selon sa conception, la noue peut être un élément d’amélioration du paysage d’un quartier, tout en sensibilisant à cette question de la gestion collective de l’eau. Elle a un autre avantage non négligeable en contribuant à atténuer les effets d’îlots de chaleur urbains, par une végétalisation limitant le côté minéral des villes qui fait grimper la température urbaine. Alors, lorsque vous en croisez, prenez soin de « noue ».
L’automne a marqué le début de la concertation des habitant.es sur des éléments de programme du jardin Magellan, afin de les inclure dans les cahiers des charges des concours destinés aux équipes de conception. Le 14 octobre, 22 personnes ont participé à une visite sur site puis un atelier sur les usages, équipements et ambiances.
Les enjeux :
Créer un jardin de proximité avec une identité propre, complémentaire des autres jardins du secteur ;
Permettre des usages variés pour les habitants et les riverains ;
Mettre à distance les logements à proximité immédiate pour préserver leur quiétude ;
Gérer le lien avec le parvis de l’école.
Les invariants ne pouvant être modifiés:
Maintenir le principe d’un jardin clôturé et fermé la nuit ;
Conserver l’objectif de performance écologique déjà appliqué à l’école ;
Assurer une liaison entre la ferme et l’école ;
Proscrire les vélos ;
Gérer les eaux pluviales par infiltration ;
Conserver l’accès pompier sur le parvis de l’école.
Les participant.es ont opté pour des choix de mobiliers en bois, comprenant des tables de pique-nique et des transats, des espaces pour profiter de l’herbe et s’y asseoir ou s’allonger, des bancs, entourés de plantes colorées et odorantes. Clairement, vous voulez « des arbres ! » et un espace naturel avec des jeux s’intégrant dans le paysage. Un parvis fait de matériaux naturels devrait en outre permettre de s’abriter de la pluie ou du soleil, pour un effet de nature entretenue propice au calme et à la convivialité.
La construction du groupe scolaire Dominique Frelaut, école oasis, a commencé début septembre. Sélectionné à l’issue d’un concours en Marché Global de Performance (voir plus loin), le projet comporte 19 classes de maternelle et élémentaire, un accueil périscolaire, des salles de motricité et d’évolution, une bibliothèque, une salle d’arts plastiques et une restauration scolaire.
Le bâtiment est organisé en U autour des 2 cours de récréation mitoyennes végétalisées. Il se développe du RDC au R+4, en gradins du sud au nord, avec une aile réservée aux classes maternelles et une aile aux classes élémentaires. Des terrasses plantées sont accessibles à chaque niveau et communiquent entre elles par des escaliers jusqu’à la toiture-terrasse du préau réservé aux jardins pédagogiques.
Sur les cours et les terrasses, une grande place est accordée aux plantations et à la biodiversité afin que l’école entière puisse s’imprégner d’une approche urbaine de l’écologie. Le bâtiment sera confortable tout en étant économe en énergie (niveau E2) et, pour respecter l’ambition bas carbone (Label BDF niveau argent), il sera essentiellement construit en bois. Seules certaines parties de planchers, le rez-de-chaussée et les circulations verticales seront réalisées en béton.
Parce qu’elle est un centre névralgique dans un quartier, et qu’elle est exemplaire, cette école est un symbole fort. À terme 2000 familles, dont près de la moitié ont déjà emménagé, vivront sur la ZAC de l’Arc sportif. L’école oasis conçue par Tectonique et construit par Maître cube se distingue à plusieurs titres :
elle réconcilie urbanité et nature en ville faisant la part belle à la végétation ;
elle sera construite en matériaux biosourcés et géosourcés ;
elle est ambitieuse d’un point de vue environnemental, dans son usage et son fonctionnement.
Une démarche environnementale militante
Les matériaux biosourcés et géosourcés répondent aux enjeux du développement durable : ils ont une empreinte environnementale favorable, car ils sont issus de la matière organique renouvelable et stockent le carbone. Ils contribuent aussi au développement économique des territoires, en provenant de matériaux de proximité.
Ce projet bénéficie également d’un label d’État « Bâtiments à Énergie Positive et Réduction Carbone » ou label E+C. Celui-ci évalue non seulement la performance énergétique mais aussi la performance environnementale des bâtiments, dans le cadre d’une construction neuve.
Le label « Bâtiments à Énergie Positive et Réduction Carbone » consiste à combiner l’indicateur Énergie (Énergie 1 à 4) et l’indicateur Carbone (Carbone 1 et 2). L’école Oasis se classe ainsi E2C2, faisant d’elle un projet hautement symbolique des ambitions pour le quartier de l’Arc Sportif et son avenir.
Le projet ressemble à une projection futuriste, dans sa forme et dans ses usages. Et il génère de nombreuses questions. A l’automne 2023, la plus grande ferme urbaine d’Europe entre en service pour le bonheur des habitant.e.s du quartier, et certainement au-delà.
Comment fonctionne cette ferme urbaine, que peut-on s’y procurer ? Quels avantages pour l’environnement ?
Cet ambitieux programme de la ZAC de l’Arc sportif est porté par Nexity et Nutreets : en bord d’autoroute A86, sur les anciens terrains de Thalès, qui aurait pensé cultiver des fruits et des légumes, élever des poissons ? Et pourtant, la ferme permet de développer tout un circuit de production et de distribution dans cette gigantesque serre qui métamorphose le paysage urbain et la manière de le penser, tout en constituant un rempart visuel et phonique. La campagne entre en ville, créant la cité fertile du futur.
À la verticale, c’est un monde en condensé qui vient donner une idée concrète d’une pratique innovante des circuits courts :
Au R+2, la production est organisée en circuit fermé appelé aquaponie. La culture des fruits et légumes sert de purificateur pour l’eau de bassins à poissons, qui eux-mêmes renvoient une eau enrichie de nitrates qui sert d’engrais aux plantes, par l’action de bactéries dans le circuit pour recycler les déjections des poissons. Une boucle vertueuse qui économise 90 % d’eau à production équivalente en plein champ.
Au R+1, l’entreprise Biscornu transforme les produits pour une activité de traiteur anti-gaspi, 100% bio et locale, de saison, et zéro déchet, appuyée sur une démarche d’insertion. Son responsable, Olivier Tran, propose des formations aux métiers de la restauration à des jeunes de 14 à 18 ans en situation de handicap.
Au rez-de-chaussée, un espace de vente permet aux habitant.e.s de remplir leur panier de bons produits de la ferme.
Une économie circulaire entre les niveaux
Production, transformation et distribution, c’est le cercle vertueux qui fait l’ambition du projet. En n’oubliant pas le volet humain du développement durable, grâce à une entreprise favorisant l’insertion de jeunes Colombien.ne.s en situation de handicap. Pour le consommateur, ce ne sont pas moins d’une vingtaine de produits qui sont directement issus de la ferme urbaine, à deux pas de chez soi et avec un impact le plus réduit possible sur l’environnement. Un équipement parfaitement en phase avec les ambitions de transition écologique et de résilience de la Ville de Colombes, portées par l’aménageur éCo.urbain. Une nouvelle manière de vivre en ville !
Chiffres clé :
4 700 m2
90% d’économie d’eau
0 produit chimique utilisé
Environ 12 tonnes d’aubergines par an
Et près de 30 tonnes de légumes et aromates
100 kg de poissons par semaine (Sandre, truites et black-bass)
1000 à 4000 personnes nourries selon la production annuelle de la ferme
La ville se réalise avec des espaces publics de qualité. Les habitant.e.s de l’arc sportif se sont impliqué.e.s dans les différentes instances de concertation afin d’etre réellement des acteurs de leur quartier et son aménagement. éCo.urbain leur a présenté le projet lauréat pour l’espace de biodiversité et le mail Françoise Allain lors de l’accueil des nouveaux habitant.e.s mi-septembre. L’équipe retenue, SCE Amenagement & Environnement, Ateliers UP + propose de véritables îlots de fraîcheur naturelle et espaces végétalisés dans le secteur Cook-Stade. Ce lieu de rencontres, de détente mais aussi de passage pour les riverain.ne.s préservera et valorisera la biodiversité. Lors des réunions de concertation, les habitant.e.s avaient souhaité un jardin de proximité, confidentiel où il fait bon flâner, et déambuler. Ses aménagements seront très naturels et qualitatifs, tout en étant simples, et nécessitant peu d’entretien. Il sera une véritable rotule entre la rue Germaine Tillion et le futur parcours sportif. Situé dans un secteur intégré au plan de prévention des risques d’inondation, il contribuera aux aménagements destinés à la gestion des crues. Là encore, les solutions paysagères qui seront proposées permettront d’accueillir la biodiversité qui manque aujourd’hui de refuges.
Quant au mail Françoise Allain, il sera à la fois un lieu de vie et de passage. Il ne sera pas clôturé et intègrera des cheminements piétons et cyclables, un cœur végétal avec la création d’espaces de rencontres, de détente et l’intégration d’un parcours sensoriel. Étant à proximité directe des logements, le positionnement des bancs sera étudié avec les habitant.e.s pour éviter toute nuisance pour les logements. Un espace minéral lié au bâtiment Cook 1, le long du boulevard de Valmy pourra accueillir un espace de café / restauration, avec la possibilité d’y créer une terrasse. Le mail devra néanmoins tendre vers un maximum de sols perméables, avec des cheminements poreux et des mobiliers urbains intégrés.
Les travaux du mail Françoise-Allain, du jardin de biodiversité et du parcours sportif démarreront après les Jeux Olympiques et Paralympiques, en septembre 2024. Livraison prévue T4 2025. Rendez-vous début 2024 pour rencontrer les équipes retenues et échanger sur les premières esquisses.
Lors du lancement d’un projet, le cahier des charges destiné aux entreprises vise à fournir les recommandations urbaines, paysagères et environnementales qui s’appliqueront à sa création. Sur la ZAC de l’Arc sportif, deux projets majeurs ont été attribués par un concours :
La passerelle et le jardin Colombus
Le mail Françoise Allain et le jardin de la biodiversité.
En tant qu’aménageur, éCo.urbain fournit donc les éléments visant à garantir la cohérence globale du projet urbain et sa temporalité de mise en œuvre dans ses différents volets, ainsi que les impératifs incontournables, souvent issus de la concertation avec les habitant.es.
UNE PASSERELLE PIÉTONNE POUR TRAVERSER L’A 86
La passerelle Marcelle-Lemedioni servira de liaison piétonne entre les îlots Colombus et Magellan. Le groupement d’architectes /paysagistes a été sélectionné. Début 2024, les équipes retenues présenteront leurs premières esquisses aux habitant.es qui pourront faire part des ambiances et des usages attendus pour cet ouvrage situé au-dessus de l’A 86. Livraison prévisionnelle : 4è trimestre 2025.
La réhabilitation de la passerelle existante devra apporter de nouveaux usages pour faciliter le franchissement de l’A86 pour les piétons, les personnes à mobilité réduite et les cyclistes, en intégrant une démarche environnementale forte dans sa conception comme dans son fonctionnement. L’ambition est de construire un ouvrage d’art emblématique, contemporain, et performant sur le plan technique pour répondre à des critères de confort et de santé, de gestion de la biodiversité et des eaux pluviales (choix des matériaux par exemple). Elle doit aussi impérativement apporter un sentiment de sécurité à l’usage.
L’équipe retenue pour réaliser ses équipements structurants pour la ville et la vie quotidienne des habitant.e.s est composée du groupement Nu • Architecture & Ingénierie, Ségic Ingénierie, Cobe, EVINERUDE URBANWATER
Il est important de rappeler que le programme a été conçu en concertation avec les habitant.e.s qui avaient mis en avant les priorités suivantes :
– une végétalisation en continuité avec le jardin Colombus,
– une passerelle enveloppante et sécurisée,
– une passerelle Design et contemporaine,
– une séparation des voies réservées aux piétons et aux vélos.
La passerelle et le jardin constituent deux équipements phares pour la vie de l’îlot Colombus. Ces 2 ouvrages sont étroitement liés et doivent être conçus en harmonie. La passerelle sera aménagée dans une véritable continuité paysagère des aménagements du Jardin, pour constituer un ensemble depuis le boulevard de Valmy jusqu’à l’avenue Jaurès
UN JARDIN DE PROXIMITÉ POUR COLOMBUS
D’une surface de 3700 m², le Jardin Colombus constitue un îlot de fraîcheur, une véritable respiration végétale pour les logements en pourtour. Dans cet espace apaisé, les équipes de conception proposent « un sol retrouvé ». Il contribuera à réintroduire la nature et améliorer la biodiversité. 70% d’espèces plantés seront d’origine locale, les espèces exotiques envahissantes seront strictement proscrites.
Pour finir, l’éclairage des aménagements du parc et de la passerelle aura 3 enjeux majeurs :
un éclairage optimal qui permette d’emprunter la passerelle de nuit en toute sécurité
un éclairage respectueux de l’écosystème (faune et flore)
un éclairage qui ne devra pas éblouir les conducteurs des voies passant dessous.
Des innovations viendront compléter le programme, avec notamment un parcours sensoriel et des espaces inclusifs. La concertation va se poursuivre en phase conception.
Livraison prévue T4 2025.
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